
Les enjeux d’aménagement du territoire restent au cœur de mon engagement au Sénat depuis 16 mois.
Depuis le début de cette année 2022, je suis mobilisé auprès des élus, des familles et de la communauté éducative contre les fermetures de classes en milieu rural. J’ai participé à une première manifestation à Buxeuil le 7 février dernier. Je suis intervenu à deux reprises dans l’hémicycle du Sénat pour interpeller le Gouvernement les 9 et 15 février. Je participerai le 10 mars prochain à un Conseil Municipal consacré à ce sujet à Blanzay ainsi qu’à une mobilisation départementale le 28 février.
J’ai bien évidemment profité de la venue à Montmorillon du Secrétaire d’Etat chargé de la ruralité, Joël GIRAUD, le 14 février dernier, pour exprimer mon opposition à la fermeture de classes contre l’avis des maires comme le Gouvernement l’a encore affirmé le 9 février devant le Sénat.
D’autre part, lors de l’audition du Ministre délégué des transports, Jean-Baptiste DJEBBARI, au Sénat le 16 février, je l’ai, de nouveau questionné sur l’avancement de la modernisation indispensable de la route nationale 147 Poitiers-Limoges en deux fois deux voies. Solution que je privilégie depuis 2015.
Les enjeux de mobilité en milieu rural font partie de la mission dont je suis l’un des rapporteurs concernant l’aménagement du territoire.
Ce rapport sera présenté en commission, au Sénat, le 15 mars. Il comportera également un important travail que j’ai mené avec mon collègue d’Indre-et-Loire, Serge BABARY sur la pérennisation du commerce en milieu rural pour laquelle nous ferons des propositions.
Enfin il n’y a pas d‘aménagement du territoire possible sans la présence de professionnels de santé. J’interviendrai en ce sens, une nouvelle fois, à la tribune du Sénat, ce mardi soir avec plusieurs propositions, car nous ne pourrons jamais nous résigner quand il est question de santé.
C’est dit !
