
Le parcours scolaire de nos enfants est aujourd’hui au cœur des travaux du Sénat.
La semaine dernière, j’intervenais lors de la deuxième lecture de la Proposition de Loi visant à favoriser l’accès de tous les étudiants à une offre de restauration à tarif modéré.
Dans un contexte de sortie de crise sanitaire, où les étudiants se sont retrouvés isolés, puis face à une inflation créant plus de précarité pour beaucoup d’entre eux, je me suis naturellement positionné en faveur de ce dispositif.
J’ai, d’ailleurs, proposé d’aller plus loin, en favorisant un accès à la mobilité pour tous les étudiants. L’égalité des chances est primordiale pour nos jeunes.
De plus, nous le savons, nous le constatons : l’absence de considération de la ruralité est un fait. Cela conduit à une politique éducative par défaut (fermetures excessives de classes, manque de moyens de certains pôles universitaires hors milieu urbain…) et limite l’accès aux études pour les élèves en milieu rural.
C’est également dans cet esprit que nous étudierons, aujourd’hui, la Proposition de Loi pour une école de la liberté de l’égalité des chances et de la laïcité, de mon collègue Max BRISSON.
Il est impératif de donner le cadre et les moyens pour que chaque jeune puisse, tout au long de son parcours de formation, trouver les mêmes chances d’apprendre, de s’épanouir et de réussir.
L’avenir du pays dépend du traitement de nos élèves, collégiens, lycéens et étudiants, car ils sont l’avenir de la France.
C’est dit !
